Coup de gueule aujourd’hui contre Time Out (magazine anglais) dans lequel Tom Huddlestone adresse une lettre ouverte au nouveau scénariste de Bond 23, Peter Morgan, qui vient de rejoindre la saga. Voici la traduction de l’article :
Cher Peter,
Alors qu’ici, à Times Out, nous sommes excités que vous, un des scénaristes les plus talentueux et demandés, ayez accepté le défit d’écrire la prochain film de James Bond, nous pensons qu’il y a quelques points saillants que vous devriez garder en mémoire en rédigeant ce qui deviendra inévitablement un des films de 2011 le plus important et (nous l’espérons) enthousiasmant. Nous avons confiance dans le fait que vous accueillerez nos conseils, par le même esprit amical avec lequel nous les délivrons.
- S’il vous plaît, donnez aux personnages le temps de respirer. Peut-être que le plus grand pas que les scénaristes (Neal Purvis, Robert Wade et pendant un temps votre collègue Paul Haggis) ont réalisé avec Casino Royale était de donner à Bond et à ses compagnons une réelle dimension vivante, profonde, et compliquée émotionellement. Nous étions habitués à Bond, et à ses automatismes intelligents, mais avec une acteur comme Daniel Craig dans le rôle, cette approche était un terrible gâchis. Quantum of Solace a réduit Bond à un peu plus qu’un voyou grognant, ronchonnant et distingué qui affronte un ennemi bavard, mais assez pathétique. Vous nous avez déjà prouvé votre valeur en tant que maître des affrontement verbaux dans vos scripts précédents, et nous sommes donc sûrs que vous nous offrirez des répliques et des plaisanteries qui tuent ! Le véritable défit sera de nous faire nous intéresser de nouveau à Bond.
- S’il vous plaît, respectez le spectateur. Il n’y a aucun doute que le meilleur de Bond est révélée quand il y a une intrigue forte, accompagnée de rebondissements, de retournements de situations, et d’intrigues croisées. Pensez juste à la défection de Sean Bean dans Goldeneye ou à la trahison de Vesper dans Casino Royale. Tant que les scènes d’actions sont accrochantes, et vos personnages suffisamment motivés, il n’y a pas de crime à laisser le spectateur deviner ce qui va se passer.
- S’il vous plaît, ne gaspillez par vos Bond girls. Un autre gros plaisir offert pas Casino Royale a été la chance de voir Bond confronté directement à un personnage féminin qui pouvait se débrouiller et tenir tout seul. Pas seulement Eva Green dans l’interprétation de Vesper, mais aussi Judie Dench, incarnant la grincheuse M. Dench était la meilleure facette de Quantum, mais elle a été gâchée par la furieuse mais sous employée Camille d‘Olga Kurylenko. Il y a une leçon que les producteurs de Bond ont appris il y a longtemps : ces femmes peuvent être bien plus que de simples satisfactions pour les yeux. Une Bond girl principale du film avec du caractère ne fait pas qu’occuper une place privilégiée, mais donne une chance au scénariste et au public de pénétrer jusqu’au fond de Bond lui même.
- S’il vous plaît, montrez nous quelque chose d’inédit. C’est difficile de penser à un endroit où Bond n’a pas encore été (Antarctique ? Éverest ? Leamington Spa ? (une ville perdue d’Angleterre)), mais un des points les plus positifs du Quantum de Marc Forster a été de dénicher certaines destinations internationales mouvementées comme les rues agitées du Panama, l’aride plateau du désert d’Atacama au Chili, ainsi que l’Opéra du Lac Constance en Autriche. Alors que les vieux Bond étaient de plus en plus limités à des allers-retours mous entre le MI6 et Moscou, combattant les mêmes Russky sans visages ni personnalité, la nature mondialisée des mystérieuses conspirations dans les nouveaux films signifie que Bond peut maintenant voyager n’importe où, pour y battre n’importe qui.
- S’il vous plaît, ne refaites pas la série des Bourne. Casino et Quantum ont tout deux clairement été plombés par le réalisme de la trilogie Bourne. Mais alors que ce dernier alternait les séquences d’actions brutes et une gamme d’humour auto-dépréciatif, les scénaristes de Quantum semblent s’être contentés d’une esquive sans but par une caméra subjective répétitive, agitée et promenée dans des lieux tristes et délabrés. Du coup, même si l’action est clairement le sang frais qui fait vivre la série, rappelez vous que Bond a toujours bénéficié de moment de repos et de pur plaisir dans des destinations de rêves.
Finalement, nous attendons que le choix du réalisateur par le producteur soit guidé par le même élan. Certains noms intéressants ont été émis, même si nous croyons avoir compris que Danny Boyle a officiellement démenti toute implication, et que Christopher Nolan est accaparé par son travail autour de Batman. Mais les films de Bond n’ont jamais été caractérisés par des réalisateurs renommés. Au final, avec des noms comme Ian Fleming, Roal Dahl, ou Paul Haggis, on peut dire que cette franchise est une des plus importante série, où le choix du scénariste signifie parfois plus que le choix du réalisateur. C’est ici que vous intervenez, Mr Morgan !
Bonne chance ! Amicalement, et en anticipant votre succès,
Tom
Voici un exemple qui m’énerve de la part de ces journalistes ou contributeurs qui se croient omniscients et se permettent de donner des conseils alors qu’ils ont du mal à écrire eux même des articles. J’avoue ne pas comprendre pourquoi certains critiques de presse se font passer, le temps d’un article pour des spécialistes en James Bonderies et en juges qui savent ce qui est bon pour la saga. Ce n’est pas parce qu’on tient un crayon « Time Out » que son avis est forcément plus légitime pour interpeller n’importe qui. Alors pourquoi ne m’y mettrais-je pas moi aussi ? Voici donc en exclusivité MA lettre ouverte à Tom Huddlestone.
Cher Tom,
Je n’ai pas l’honneur de vous connaître, ni d’avoir déjà entendu parlé de vous. Mais qui que vous soyez, votre identité m’importe peu puisque je voudrais vous entretenir de cette belle lettre ouverte que vous avez adressé à Peter Morgan. Je me réjouie que les journaux parlent de Bond, mais je vous prie d’accepter, quant à vous, certaines remarques sur des points saillants de votre article que vous pourriez garder en mémoire lors de la rédaction de vos prochaines lettres ouvertes. Merci de les accueillir en comprenant l’esprit amical, sans prétentions normatives d’un fan bondien, excédé par les critiques dans votre genre.
- S’il vous plaît, arrêtez de vous prendre pour un spécialiste. Être un grand fan ne fait pas automatiquement de vous un analyste spécialisé dans les l’écriture de scénarios (ou si vous l’êtes, votre lettre est bien peu scientifique). Votre critique se rapproche plus de la réaction du fan de base que d’un véritable critique dont le rôle serait plutôt d’exprimer divers points de vue ou des avis. Votre interprétation des défauts du film, même si elle comporte de nombreux points pertinents est toute subjective, souvent simplificatrice à outrance, et (de mon point de vue) assez irréfléchie quant à l’utilisation de certaines techniques (plans « à la Jason Bourne », silence de Bond…). Mais nos avis sur QOS ne sont pas le sujet de cet article. Abandonnez cet air de donneur de leçon amical. Vos « Dos and don’ts » ressemblent davantage à des réclamations d’un conservateur bondien basique, guidées par des normes arbitrairement attribuées aux films en fonction de vos préférences.
- S’il vous plaît ne condamnez pas aussi vite les faiblesses d’un film. Quelques soient les reproches que l’on puisse adresser à Quantum of Solace, à son scénario, ou à la réalisation de n’importe quel film, ne croyez pas que votre point de vue soit celui de tous. Ne croyez pas que ce que vous n’avez pas aimé est une maladresse d’un type qui ne sait pas ce qu’il faisait. L’interprétation d’un défaut ne consiste pas à dire : ceci est bien, ceci ne l’est pas. On ne peut que regretter une possibilité ou une opportunité d’avoir fait autre chose, mais en aucun cas reprocher et condamner un aspect, sous prétexte que vous ne le voyiez pas sous le même jour que son créateur. On peut ne pas aimer, mais c’est à chacun de dire ce qu’il pense, et à la postérité de juger ce qu’il fallait garder ou non. Quelques soient ses défauts, les essais non transformés de Quantum of Solace ne passeront pas inaperçus, que ce soit du coté de la production, ou des observateurs d’EON.
- S’il vous plaît, essayez de comprendre comment sont créés les films de James Bond. Faire un James Bond, c’est prendre des risques ! Innover, assimiler certaines tendances actuelles et les réutiliser dans un but nouveau, avant de passer à autre chose. C’est oser prendre des initiatives qui risquent de faire rechigner les fans, mais qui permettront à Bond de s’adapter sans cesse. Et plus important encore, c’est se souvenir que la production d’un JamesBond Film est un travail collectif. Que ceci ne passe pas par un réalisateur ou un scénariste, mais par les idées de chacun, conciliées avec l’héritage des autres films… et les impératifs commerciaux.
Chaque contributeur de la saga doit bénéficier d’une marge de manœuvre suffisante pour essayer d’apporter sa pierre à la pyramide bondienne. Ne vous faîtes pas de soucis sur ce qu’ils doivent faire, et ne pas faire. Ces gens là sont des professionnels qui connaissent leur métier, savent où ils vont, même si le résultat, au niveau de la qualité, peut rester incertain. Il y a très peu de James Bond parfaits et sans reproches, et il faut savoir apprécier les réussites d’un épisode, accepter les faiblesses, et penser aux leçons qu’en tireront les producteurs. Votre marge d’originalité se limite à réclamer des nouveautés à l’intérieur de bornes bien étroites et établies. La production sait passer outre ces gémissements pour faire autre chose et réellement innover, quitte à faire des erreurs.
En d’autre terme, laissez Peter Morgan faire son boulot. Vous avez des attentes particulières ? Allez sur les forums comme MI6.co.uk ou Commanderbond.net. Votre discours a largement le niveau et la place d’y figurer. Ce sont des espaces d’expression ou des fans qui ont parfois plus de recul et sont souvent plus avisés pourront vous apporter d’autres approches de ces défauts. Mais par pitié, n’en faites pas un article aussi solennel, friendly et condescendant. Ce n’est pas parce que Peter Morgan est nouveau dans la saga qu’il a besoin des conseils d’un fan qui prend ses avis pour des vérités intemporelles. Votre point de vue équivaut à celui de n’importe quel autre. En tant que fan, faîtes comme tout le monde, discutez avec les gens de ces forums qui vous écouteront vraiment et réagiront à vos attentes. Cela aura plus d’effets que d’essayer d’influencer les producteurs du prochain James Bond, qui n’ont rien à faire des portes-paroles auto-proclamés du public.
Quant à Peter Morgan, je n’ai qu’un conseil à lui donner : La postérité jugera, l’avenir vous appartient. Faîtes ce que vous voulez de votre mieux ! Soyez ambitieux et faites votre boulot comme vous savez si bien le faire, et surtout, n’écoutez ni les fans ni les critiques, y compris celle-ci 😉
Merci de nous faire partager cette lettre ouverte d’un magazine et je suis totalement d’accord avec toi.
Si QOS est un Bond « particulier » c’est avant tout à cause (grâce) à la direction prise par le scénario. Si James Bond est « grognant », très fonceur, moins enjoué (mais pourtant il arrive à donner de la bonne humeur) et que la caméra s’adapte à cela, c’est commandé par le scénario.
OK, Bond est dans une espèce de quête d’identité et de vengeance « à la Jason Bourne »(si l’on veut…) sauf que ce dernier met trois films pour le faire et pour pas grands chose finalement.
Le plus grave serait que Bond23 répète ce qu’a fait QOS alors que cela n’aurait pas lieu d’être. Dans ce cas là, il y aura de quoi « gueuler ».
C’est toujours pareil, les gens voient des maladresses sur ce qui n’avait jamais été fait dans la saga alors que c’est de la pur volonté.
Étant donné qu’on nous montre un Bond débutant dans les années 2000, je ne suis d’ailleurs pas enclin à ce qu’on s’éloigne de l’image de l’espion des années 60 qui a plus ou moins perduré jusqu’en 2002 (« relique de la guerre froide »). Là, on a une image de l’espion donnée par le cinéma d’aujourd’hui mais à laquelle s’adjoint une psychologie piochée dans les romans. Et comme la littérature est bien la matrice de la série, on retrouve bel et bien de la « jamesbonderie ».
Je dirais juste que le placement des éléments, codes fait moins « gonzo ».
Tout à fait d’accord avec cet ajout !!! Tout est une question de perception. Même si certaines remarques de l’auteur de l’article sont acceptables, elles allaient de toute façon de soit, vu que ces « défauts » (interprétés comme tels) étaient justement fait pour caractériser ce Quantum of Solace.
Mais derrière ces critiques plus ou moins bonnes, c’est le ton de cette « lettre » qui m’horripile par dessus tout.
Oui. On est tout simplement le « délire » du fan qui croit que la série lui appartient.
Bah, ne vous en faites pas, les amis. Les journalistes ne connaissent rien à rien. Ce sont tous des pisse-copie.
Et comme dit Bond : « on publie n’importe quoi ces temps-ci ».
Pas tout à fait d’accord avec cette ficelle un peu grosse consistant à essayer de répondre point par point aux arguments du journaliste de Time Out – lequel, n’en doutons pas , est sûrement autant Fan que vous des aventures de l’agent 007…Simplement parce qu’on n’est pas d’accord avec sa façon d’exprimer les choses ( qui n’est pas trop subtile d’accord , mais ô combien British dans son énonçé ) .
Depuis l’invention des franchises, les Fans pensent être les seuls défenseurs de la Vérité concernant leur héros préfèré – quel qu’il puisse être .
Et bien souvent , une certaine rancoeur se noue à l’encontre des journalistes , dont c’est simplement le métier de refleter des opinions diverses et variées ( voir le sympathique commentaire de » Vesper Lynd » posté plus haut ) .
Pour côtoyer depuis plus de vingt ans des Fans et des ‘ Professionnels de la Profession » sur le vecteur 007 , j’oserais même affirmer que les Fans sont parfois le pire ennemi des producteurs .
A trop vouloir imposer leurs vues , et parfois avec une méconnaissance dramatique du processus de création d’un film ( qui reste avant tout – ne jamais l’oublier – une entreprise…Commerciale à la base ), les Fans peuvent faire bcp de mal sans même s’en rendre compte .
Personnellement , je n’ai que très peu apprécié l’expérience QofS . Par contre , je ne me suis pas permis de conspuer le film dans les médias où l’on m’a demandé de livrer mon opinion sur le produit avec à la clef un argumentaire concis.
On peut attaquer par contre un journaliste sur son travail . Pas sur ses opinions .
Bref , la chasse aux sorcières , très peu pour moi …
J’ai peur que nous nous soyons mal compris K.B.C.
Dans mon article, j’ai justement essayé de ne pas m’attaquer aux opinions de l’auteur, ou aux reproches qu’il adresse à Quantum of Solace, via ses articles. D’ailleurs, je suis d’accord avec de nombreux points qu’il énonce (temps à l’écran des James Bond girls, rythme…).
J’avais d’ailleurs répertorié les critiques globales adressées par les critiques à QOS (http://jamesbonderies.free.fr/index.php/11/les-critiques-de-q-o-s/), et je compte écrire prochainement ma propre liste des faiblesses que je vois dans cet opus.
Ce que je condamnais ici, c’est justement la façon dont est écrit cet article. Comme vous le disiez, les « fans sont parfois les pires ennemis des producteurs », et c’est là dessus que je terminais mon article. C’est à mon avis le défaut de cet article qui ressemble plus à un argumentaire de fan, qu’à un professionnel de la profession, ou même un critique de journal.
Je n’ai aucun problème à ce qu’un article condamne un film ou expose son opinion. J’ai plus de plaisir à lire un article, même si je ne suis pas d’accord avec lui, qu’à découvrir un papier qui s’extasie bêtement sur un film.
Mais ce à quoi je tiens, c’est que les auteurs assument leur propre subjectivité et pas à qu’ils « imposent leurs vues ». « Refléter des opinions diverses et variées », oui ! Sans aucun problèmes ! C’est ça qui fait l’intérêt de la profession ! À condition que ce soit dit et écrit dans ce sens, et pas érigé en Vérité générale.
– parfois avec une méconnaissance dramatique du processus de création d’un film
– pensent être les seuls défenseurs de la Vérité concernant leur héros préfèré
Ces aspects que vous attribuez aux fans s’appliquent à mon avis (et c’est le problème) à cet article, ce qui remet en cause le statut de journaliste de l’auteur.
Si comme vous le dites « les Fans peuvent faire bcp de mal sans même s’en rendre compte « , je dirais même que un journaliste qui écrit un article en tant que fan risque, sans s’en rendre compte de de faire encore plus de mal ! (même s’il est autant fan que moi, ce dont je ne doute pas).
En conclusion, nous partageons beaucoup plus de points de vue communs que de divergences, et je pense que si vous relisez ma critique, vous verrez que j’attaque ce journaliste sur son travail, et non sur son opinion (que je respecte en tant que telle, mais qui m’horripile quand elle est affirmée comme vérité générale).
Quant à cette chère Vesper Lynd, on a tous le droit à des baisses de régime dans les commentaires (que j’oublie vite quand je vois la qualité de ses autres remarques, dans les autres articles).
Amicalement !
Ah mais pas du tout, Ytterbium. Je persiste et signe. La preuve, KBC n’a rien compris à ton article.
Sachant que KBC a bossé à Ciné-Live pendant un bout de temps, je pense qu’on peut avoir une discussion plus constructive sur la façon d’approcher James Bond. La façon de parler de 007, du point de vue des fans, et du point de vue des critiques dont c’est le métier peut être intéressante à croiser. Ce n’est pas en conservant ce fossé entre fan, journalistes et spécialistes qu’on va enrichir l’approche de Bond. Si les fans restent dans leur coins en étiquetant comme « pisse-copie » tout les journalistes, et que ceux-ci voient les fans comme des illuminés sans raison, on ne va pas s’en sortir.
J’ai lu d’excellentes critiques dans des journaux, et des commentaires absolument navrants de la part de fans, et vice-versa. Il est un peu simpliste de ranger de cette façon les commentateurs de James Bond (à mon avis).
Quant à l’inutilité et le manque d’à propos du commentaire du « professeur Burp », je le supprime illico.
En lisant les commentaires qui ont suivi, je suis un peu déçu par vous deux. Apparemment, vous essayez d’avoir tout deux une vision un peu globale de James Bond, mais vous vous disputez comme des gamins ou comme des chiffonniers.
Vous m’éviterez s’il vous plaît les commentaires du type « c’est lui qu’a commencé », « lui il est plus bête que moi », qui n’apportent rien, que ça viennent d’auteurs, de fans ou de journalistes.
Sur mon blog, j’essaye de m’ouvrir aux différentes approches de James Bond, et aux différentes façons de voir l’agent 007. Vos commentaires sur mes autres articles ont été très enrichissants et je vous en remercie, mais je vois que l’intérêt pour James Bond est vite rattrapé par des arguments bas-de-gammes ou ad-hominem.
Merci d’essayer de créer des discussions constructives plutôt que de tomber dans des affirmations gratuites et stupides. J’attends donc avec impatience de vrais commentaires centrés sur les sujets, les articles ou des jamesbonderies… entre autres, et non sur vos mérites respectifs. Je sais qu’en tant que journalistes, auteurs, intéressés ou autres, vous comprendrez et réussirez à respecter le fan de James Bond qui sommeillent dans l’autre, et dont l’avis mérite d’être connu, respecté et argumenté 😉
Merci
Je vous prie de m’excuser mais je me suis senti personnellement attaqué lorsque votre intervenant s’est mis à traiter les journalistes de ( censuré ) .
C’est très exactement à cause de cette attitude de certains Fans intransigeants que j’ai résolu de m’en tenir à l’écart .